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endroit fermé depuis mai 2021 : départ en retraite
Par Anonyme, le 12.01.2022
ebay, jardicom, ma petite jardinerie...v oire amazon vendent des graines sinon en pot chez truffaut, jardiland
Par aufildejb, le 07.01.2021
le mieux serait d'aller voir quelques boutiques du côté du 75013, vers les avenues d'ivry et de choisy et de r
Par aufildejb, le 07.01.2021
bonjour
j'aim erais trouver un importateur de statue de bouddha
Par Anonyme, le 03.01.2021
j'aime bcp cette fleur
si je pouvais avoir l'adresse ou je peux en acheter
vous remercie à bientôt
Par Anonyme, le 26.12.2020
Date de création : 08.06.2012
Dernière mise à jour :
19.01.2022
3380 articles
La rétrospective proposée au musée Guimet en plus de 400 images permet de prendre la mesure de l'oeuvre d'Araki dans sa diversité. J'ai personnellement beaucoup aimé les séries consacrées aux fleurs, le "Voyage sentimental", illustration de son voyage de noces en 1971 suivi du "Voyage en hiver" en 1990,année du décès de son épouse, et ses expérimentations incessantes dans la recherche plastique avec ses interventions audacieuses sur ses propres images qu'il complète de calligraphies ou de peintures.
Et puis, évidemment le choc des photos de kinbaku, ligotage érotique.
Voici le texte de l'exposition : "Araki a multiplié, au cours de sa carrière, les photographies de femmes ligotées, ce jeu de sexe et de cordes étant même devenu souvent sa signature stylistique. Au Japon le kinbaku, ligotage érotique, a sa source dans le hojôjutsu, un art martial ancestral dont on se servait pour attacher les mains des prisonniers par des liages très savants. Araki détourne ces traditions pour en faire un jeu artistique. Pas de trace de souffrance sur les visages des femmes ligotées d'Araki et pas plus d'extase. Metteur en scène, Araki crée par le ligotage une suspension du geste, sorte d'arrêt sur image avant même l'acte de photographier, un peu à la manière du théâtre kabuki, longs arrêts dans le mouvement d'un geste pour en souligner l'intensité et la beauté(miiye). "La photographie, elle aussi, ligote les gens et les met dans une boîte...la photo prend sa source dans le kinbaku, dans l'acte de ficeler les choses et des évènements"dit Araki. "D'ailleurs je ligote les modèles moi-même et, après la session photo, c'est moi qui défais les liens..."
Pour les amateurs de bondage, rendez-vous aussi sur internet en recherche images "Araki kinbaku"...on y trouve des photos particulièrement ...disons originales avec des modèles nus.
L'illustration présentée ici est en copyright londonist.com...avantage : on y voit l'artiste !